Cliquez pour agrandirEn partenariat avec le Conservatoire des Espaces Naturels de Lorraine, les Amis du Saulnois ont organisé dernièrement une sortie « découverte du village de Juvelize et de son pré salé » dans la vallée du Nard.
Roger Richard, président de l’association ASP, a d’abord accueilli les visiteurs dans l’église Saint-Germain et retracé l’historique des lieux, en limite entre les archidiaconés de Vic (langue française) et Marsal (langue allemande jusqu’au XVIIe siècle).
En chemin, il a aussi été question de la bataille de chars d’Arracourt en septembre 1944 qui a sérieusement affecté le village.
Puis le groupe s’est rendu au pré salé où toute une flore submaritime se développe, notamment entre le vieux bras du Nard et celui aménagé du canal de flottage des salines.
Cliquez pour agrandirLes Amis du Saulnois ont accueilli leurs homologues de la Société d’Histoire de Faulquemont pour une journée de découverte du Saulnois :
- Château-Salins (Place de la Saline et Salines Solvay)
- Salonnes (l’ancien prieuré et la maison de l’amodiateur)
- Vic (route des vignes, Place du Palais et site du château des évêques)
, Tarquimpol où a été pris le repas (église, cimetière et village)
- Alteville (les châteaux : 16e et 18e siècles)
- Dieuze (salines royales et site de l’ancien château médiéval)
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Cliquez pour agrandirLes Amis du Saulnois ont accueilli leurs homologues de la Société d’histoire et d’Archéologie Lorraine (SHAL) de Sarrebourg pour une excursion : une journée à travers tout le Saulnois !
Une soixantaine de participants venus en autocar ont suivi avec attention les commentaires de R. Richard tout au long du périple : Lindre-Haute (église et puits de St-Gibrien), Dieuze (salines royales et site de l’ancien château médiéval), Marsal et Moyenvic (visite en bus), Chambrey (gare impériale), Burthécourt et Salonnes (château et ancien prieuré), Vic où a été pris le repas (Place du Palais et château des évêques), Château-Salins (places du Ruisseau Salé et de la Saline), aire des Ossons (voie romaine, route de France, chemin de la reine, route du duc Léopold), Viviers (prieuré, cimetière, écuries du château), Tincry (visite en bus), Bacourt (église St-Martin), Craincourt et Aulnois (châteaux) !
Cliquez pour agrandirLa découverte de la « pelouse à orchidées » de Bacourt attire toujours de nombreux naturalistes amateurs.
La dernière sortie était organisée par les Amis du Saulnois et de son Patrimoine (en partenariat avec le Conservatoire des Espaces Naturels de Lorraine).
Cliquez pour agrandirCette année, Roger Richard (président de ASP), avait donné rendez-vous à l’église Tincry. Il en a profité pour y faire l’historique du village et présenter les éléments forts du patrimoine local. Le groupe s’est ensuite rendu à « la Croix Renard » et, après être passé au pied des anciens fours à chaux, ce fut la découverte de la pelouse calcaire de Bacourt. Une douzaine d’espèces d’orchidées ont pu être observées, sans compter quelques hybrides tout à fait remarquables !
La prochaine animation organisée conjointement par le Conservatoire et les Amis du Saulnois aura lieu le 31 août et concernera le pré salé de Juvelize.
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Cliquez pour agrandirMorhange : une ville au double visage !
La visite organisée par « les Amis du Saulnois et de son Patrimoine » a été suivie par un groupe d’amateurs d’histoire locale venus de la Meurthe-et-Moselle (secteur de Nomeny) !
Après avoir retracé dans l’église (classée Monument Historique) toute l’histoire de la seigneurie de Morhange, Roger Richard a conduit les visiteurs sur le chemin des anciens remparts de la petite cité médiévale lorraine.
Ensuite, ce fut la visite de la « Neustadt » qui s’est développée autour des casernes construites dans les années 1890 par les Allemands. Se succédaient alors différents secteurs : administratif (poste, école, tribunal), résidentiel (parc de la maison du général commandant la garnison et villas des officiers), deux quartiers appelés par la suite Bérot et Cissey, l’ancienne caserne d’artillerie et le Parc Clémenceau !
La ville présente ainsi un patrimoine urbain original, fruit d’une histoire dont la fin du XIXe siècle marque un véritable tournant : de la petite bourgade française (essentiellement catholique et francophone) à la nouvelle ville (majoritairement militaire, germanophone et protestante) !
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